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Prévention de la maladie de Parkinson
Le rôle de l’apomorphine dans la maladie de Parkinson
C’est un peu l’histoire du « petit poucet » qui est parvenu à franchir le passage difficile de la maladie de Parkinson, un trouble neurodégénératif d’origine génétique. Un cas unique ? Pas tout à fait. Si l’on se réfère aux données recueillies dans la littérature scientifique, environ 12% des patients souffrant de cette affection, à un moment ou à un autre, auront une apparition ou une rechute de la maladie. Et pourtant, un nouveau traitement a pu être proposé aux patients concernés et a démontré son efficacité.
« Il existe des médicaments contre la maladie de Parkinson qui sont utilisés chez des personnes atteintes de démence ou de Parkinson, explique le neurologue Philippe Lefebvre. Et d’autres qui sont prescrits pour la prévention de la maladie de Parkinson »
C’est le cas de l’apomorphine, une substance qui agit comme un vasodilatateur et qui a été testée dans le cadre de la prévention de la maladie de Parkinson. Mais ce n’est pas la seule molécule utilisée pour le traitement de la maladie.
L’apomorphine est un médicament disponible depuis 2008, qui agit sur un neurotransmetteur appelé dopamine. Il est commercialisé en France sous le nom d’Addyi.
La molécule est utilisée en complément d’un traitement classique. L’efficacité de ce dernier a été démontrée dans le cadre de la maladie de Parkinson.
Après avoir subi des examens et des analyses de laboratoire, les spécialistes ont pu déterminer que les patients bénéficiaient d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure performance motrice. L’apomorphine est donc la molécule qui permet de prévenir la maladie.
En effet, les patients concernés ont pu réduire le risque de rechute de la maladie de Parkinson et ainsi ralentir la progression de cette pathologie.
« On a montré que 50% des patients ont une amélioration de leur qualité de vie, indique le neurologue Philippe Lefebvre. On observe également une diminution des troubles moteurs et cognitifs. »
Dans le cas de la maladie de Parkinson, le taux de rechute est de 50%.
Mais il faut savoir que la maladie de Parkinson peut se déclarer à tout âge. L’expression de la maladie diffère pour chacun d’entre eux. Dans le cas de la maladie de Parkinson, les patients atteints ont des problèmes moteurs et cognitifs et ils ont une réduction de la qualité de vie.
Pour prévenir la maladie, il est donc important d’agir en amont. La bonne nouvelle, c’est que les traitements actuels peuvent ralentir la progression de la maladie et améliorer la qualité de vie des patients.
En prévention, il est possible de suivre un traitement avec de l’apomorphine et ce traitement peut être poursuivi pendant plusieurs années, voire des décennies si nécessaire, pour obtenir des effets bénéfiques.
En France, une molécule à base d’apomorphine a été mise sur le marché. Son objectif est d’aider les patients souffrant de la maladie de Parkinson à mieux vivre leur vie quotidienne.
On utilise l’apomorphine dans les cas de maladie de Parkinson. Elle est commercialisée sous le nom de Addyi. Cette molécule est un vasodilatateur. Elle agit sur le système sympathique en augmentant la production de dopamine.
Elle est également un vasodilatateur utilisé dans le cadre de la prévention de la maladie de Parkinson.
En prévention de la maladie de Parkinson, on l’utilise chez les patients qui ont des troubles moteurs et cognitifs pour ralentir la progression de la maladie. Il s’agit d’un traitement à long terme, généralement de plusieurs années.
Ce traitement est disponible sous forme de comprimé à prendre par voie orale. Il est important de respecter les posologies prescrites par le médecin.
Il existe d’autres traitements pour prévenir la maladie de Parkinson.
Aux États-Unis, on teste actuellement un médicament qui agit sur le système sympathique.
Il pourrait être commercialisé en Europe dans les années à venir.
Il s’agit d’une molécule qui agit sur le système sympathique.
Au niveau du diagnostic, la maladie de Parkinson se manifeste généralement par des troubles moteurs et des troubles cognitifs.
La personne atteinte présente une lenteur de ses mouvements et une difficulté de coordination et d’équilibre qui peuvent être améliorées grâce à la prise de médicaments qui agissent sur les facteurs de la maladie.
Au niveau du traitement, les médicaments utilisés pour la maladie de Parkinson sont des antipsychotiques qui inhibent la transmission de l’influx nerveux dans le cerveau. Ces médicaments sont utilisés pour traiter la maladie de Parkinson et ils sont efficaces pour ralentir la progression de la maladie.
Mais ils peuvent également être utilisés pour prévenir la maladie, car ils permettent d’améliorer les symptômes de la maladie.
L’approche thérapeutique la plus efficace pour traiter la maladie de Parkinson est la neurochirurgie. La chirurgie consiste à sectionner la partie du cerveau qui est responsable de la transmission du signal nerveux entre le cerveau et le reste du corps.
Dans le cadre de la maladie de Parkinson, la chirurgie est généralement utilisée pour ralentir la progression de la maladie.
Il existe plusieurs traitements pour ralentir la progression de la maladie. Ils permettent de réduire les symptômes, améliorer la qualité de vie des patients et préserver les fonctions cognitives.
L’objectif du traitement de la maladie de Parkinson est de ralentir la progression de la maladie. Il est important de prendre en compte la progression des symptômes et des troubles cognitifs pour adapter les traitements.